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Marie laure Baradez
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En Auvergne ; le bonheur gourmand
Marie-laure Baradez
- Communication Presse Edition
- Reflets De Terroir
- 16 Avril 2010
- 9782845036574
Lorsque l'on évoque la cuisine auvergnate, la vraie, celle du terroir, immanquablement les mêmes images tenaces reviennent : des plats simples et copieux où la pomme de terre associée au fromage faisait le quotidien de nos anciens.
Des plats qui n'avaient pas d'autre ambition que de tenir au corps de ceux qui travaillaient la terre, cultivaient les champs et élevaient des troupeaux. Parce qu'elle est d'origine paysanne, cette cuisine est souvent perçue comme peu raffinée, voire lourde et sans créativité. On pense alors aux cochonnailles, à la potée, à la truffade, à la saucisse de chou... En somme, des plats qui se laisseraient volontiers manger mais qui manqueraient de finesse.
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Recettes cévenoles et languedociennes de nos grands-mères
Marie-laure Baradez
- Communication Presse Edition
- 2 Février 2006
- 9782845034204
le lot premier des femmes était, à la fin du xixe et jusqu'au milieu du xxe siècle, de bien gérer la maison et d'élever les enfants.
elles avaient fort à faire. en règle générale, elles avaient souvent une famille nombreuse de six ou sept enfants qui évoluaient dans une maison oú le confort n'était pas encore forcément entré. j'ai personnellement connu la cabane au fond du jardin.
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Recettes lorraines de ma grand-mere
Marie-laure Baradez
- Communication Presse Edition
- 11 Février 2011
- 9782845038806
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Les recettes toulousaines de ma grand-mère
Marie-Laure Baradez
- Communication Presse Edition
- 27 Avril 2012
- 9782365720267
Cette collection est un recueil de goût, d'impression, d'odeurs, de souvenirs, car la vie est un voyage, un voyage trop court, mais qui laisse dans notre mémoire des traces chaleureuses, tristes ou joyeuses. Et ces premières traces indélébiles sont souvent laissées par les femmes, car un foyer est animé, dirigé, tenu par les femmes, grand-mère et mère pour les plus chanceux. Il y a des moments dans la vie de chacun qui marquent le subconscient d'une manière indélébile. Des moments qui reviennent sans cesse. Des moments qui vous tirent un sourire ou une larme. Des moments d'une infinie simplicité, d'une infinie douceur qui feraient rire nos grands penseurs, nos éternels donneurs de leçon. Trésors cachés dans la mémoire, blottis au fond du coeur et qui aident à vieillir. Et souvent ces instants de joie, de bonheur sont associés à une personne, une "grande" personne qui a marqué votre vie, celle qui a fait de votre enfance un bonbon au goût de miel, celle qui vous a permis de passer, sans trop de casse, du monde des gamins à celui des adultes: Grand-Mère, Mémère, mamie...
Les recettes toulousaines de ma grand-mère L'auteur
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Recettes toulousaines de nos grands-mères
Marie-laure Baradez
- Communication Presse Edition
- 2 Février 2006
- 9782845034211
Le lot premier des femmes était, à la fin du XIXe et jusqu'au milieu du XXe siècle, de bien gérer la maison et d'élever les enfants.
Elles avaient fort à faire. En règle générale, elles avaient souvent une famille nombreuse de six ou sept enfant qui évoluaient dans une maison où le confort n'était pas encore forcément entré. J'ai personnellement connu la cabane au fond du jardin...
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Les recettes auvergnates de ma grand-mère
Marie-laure Baradez
- Communication Presse Edition
- 11 Mars 2011
- 9782845038684
Les recettes que ma grand-mère cuisinait traditionnellement étaient des recettes peu coûteuses, qui nécessitaient des ingrédients qu'on pouvait souvent aller cueillir soit même (champignons, fruits sauvages, mâche). C'était une cuisine populaire, ingénieuse où il fallait utiliser les ressources du potager, du verger, de la forêt, une cuisine économique, une cuisine où il ne fallait surtout pas gaspiller. Ma grand-mère avait le don comme toutes les ménagères de l'époque pour transformer de simple légumes en une délicieuse soupe, pour faire de quelques pommes un succulent dessert. Sa cuisine était aussi une cuisine de saison, à cette époque pas de tomates ou de fraises à l'année, pas de fromage de chèvre à tout moment du calendrier, il fallait être patient, attendre le bon moment. Ma grand-mère savait prendre le temps pour cuisiner et satisfaire nos papilles.